Nom: | film taxi el makhfi |
Format: | Fichier D'archive |
Système d'exploitation: | Windows, Mac, Android, iOS |
Licence: | Usage Personnel Seulement |
Taille: | 13.40 MBytes |
Signaler cette vidéo Quel est le problème? C'est de lui donner du travail. Le défunt devrait être inhumé cet après-midi au cimetière d'El Alia à Alger. Réaction de Patrice Trapani, président du syndicat des taxis de Nice. Je lui dis je n'ai pas d'argent, avec quoi je vais te payer?
Accidents de la route: Le salaire net moyen à plus de Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes. Onze professionnels pour l'évaluation des compétitions. Une ouverture sans strasses ni paillettes Festival d'Oran makbfi film arabe. Les nouvelles expressions artistiques des jeunes sous les lumières Début ce soir du Festival d'Oran du film arabe.
Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source. A propos de Djazairess Widget des articles Publicité Contactez-nous Nous avons articles indexés. Serions-nous tenté d'affirmer sans se tromper, tant cette année le Festival d' Oran du film arabe se noie dans la désorganisation et le bricolage, la veille même avant son lancement.
Le Fofa a atteint le fond.
La politique de la dernière minute est érigée en roi faxi, pire que les autres années faut croire. On supprime tout et on recommence.
Taxi el Makhfi - الطاكسي المخفي | FILM COMPLET
Une belle arnaque devant tous les problèmes survenus depuis l'arrivée des journalistes et même des réalisateurs, dont certains n'ont pas pu récupérer leurs bagages, sans parler de la débandade administrative et les points de presse vite annoncés, vite annulés devant la stupeur des journalistes ballottés d'un endroit à l'autre.
Même les excuses du commissaire dl festival, Brahim Sediki, ne nous feront pas changer d'avis.
Devant ce capharnaüm indescriptible une triste nouvelle est tombée en cette matinée de mercredi où devait s'ouvrir en soirée le Festival international d' Oran du film arabe, à savoir le décès du réalisateur Benamar Bakhti. Signe de mauvais augure pour le festival peut-être que ça ne m'étonnerait guère!
En effet, le réalisateur algérien Benamar Bakhti est décédé dans la nuit de mardi à mercredi à Alger des suites d'une longue maladie.
Né en à Tlemcenle défunt a été formé à l'Institut des hautes études cinématographiques de Paris Idhec avant de travailler en tant qu'assistant de télévision en France et aux côtés de cinéastes français comme Claude Lelouch et Jean-Paul Taxl. Réalisateur de téléfilms pour la RTA Radio et Télévision algériennes à son retour en Algérie, il est l'auteur de longs-métrages au succès populaire comme L'épopée du Cheikh Bouamama et Taxi el Makhfi Le clandestin, 1 un film historique et une comédie dans lesquels l'acteur Athmane Ariouet campait les premiers rôles.
Le défunt devrait être inhumé cet après-midi au cimetière d'El Alia à Alger. Peine perdue, ces dernières dont certaines se cachent à l'hôtel Royal, ne parlent pas trop aux journalistes. Pour en revenir à la disparition de Benamar Bakhti, au gré des rencontres, au lobby du Méridien donc, nous accostons Djamel Azizi qui participe au festival avec un film.
On vient d'apprendre la mort d'un grand cinéaste algérien, il a donné au cinéma des films très intéressants. C'est vraiment une grosse perte Makkhfi sa part, Brahim Sediki a tenu à faire ses condoléances à la famille du défunt, proches, amis et tous ceux qui l'ont connu et a tenu à dire: Il était généreux, fidèle et modeste malgré ses grandes participations au cinéma algérien. Il était doué d'une grande ouverture d'esprit et altruiste Je connaissais sa femme, ses nièces, sa petite famille.
Taxi El-Makhfi (Le clandestin) - الطاكسي المخفي Film Algérien 1ère partie - فيديو Dailymotion
Dieu ait son âme! Un artiste et un poète qui voyait au-delà des ans. C'était un cordon bleu. Sa femme et ses filles, ne touchaient pas à la cuisine quand il est à la maison.
On savait qu'il était malade, c'était un grand homme. Moi qui ne l'ai pas connu, c'était un grand homme Ce qui me rend malade, c'est que Bakhti a toujours rêvé de faire le film sur l'Emir Abdelkader et il est parti sans le faire, ça me reste sur le coeur. Si on veut honorer un artiste, technicien, un réalisateur, un comédien ce n'est pas en lui rendant hommage quand il est mort.
Ce n'est pas en lui donnant un prix ou une médaille. C'est de lui donner du travail.
Si vous lui enlevez le travail, il meurt c'est comme le poisson, si on le sort de l'eau il meurt. Si on lui avait donné de l'argent, si on lui avait donné la possibilité, il nous aurait donné une oeuvre quelle qu'elle soit, mais une oeuvre à cent pour cent algérienne, tellement il voulait faire revivre ce personnage. On flim besoin d'un artiste. Ça me rappelle Fatiha Berber, Farida Saboundji quand elle me dit si tu veux me rendre service donne-moi un rôle.
Je lui dis je n'ai pas d'argent, avec quoi je vais te payer? L'artiste a besoin qu'on lui donne à travailler et il y a de l'argent.
Twxi on veut, on peut.
Comments
Post a Comment